L’enjeu de notre société. Tout le monde court après sa «queue», et se laisse envahir par la vague d’émotions. La normalité d’aujourd’hui est d’être en permanence submergé par la vague qui vient et qui part, pour mieux revenir et se sentir pris à nouveau. Pourquoi s’infliger cet inconfort qui nous amène à ne plus réfléchir et à surfer sur une vague qui ne nous convient pas.
Le stress vient du fait que vous voulez faire comme la majorité des gens. Vous courez après une vie que l’on vous a vendu et qui ne reflète en rien votre réalité. Vous voulez tout, vite et parfois sans réfléchir. Est-ce votre cas?
Que voulez-vous vraiment? Êtes-vous capable de bien vivre en vous fixant des limites et des objectifs? Avez-vous une idée du pourquoi vous courez?
Vous êtes stressés! je vous invite à jouer avec ce mot : sachez dire non, quand votre panier est plein. Sachez prendre position sur ce qui vous allume.
Chacun à sa manière de gérer le stress, certains ne fonctionnent qu’avec une surcharge pour avancer, êtes-vous de ceux-là ? Avez-vous l’impression qu’il faut toujours remplir un vide, pour ne pas vous retrouver devant une évidence?
D’autres se noient dans un verre d’eau car rien n’est structuré et d’autres vivent le stress par procuration, donc les autres sont stressés et du coup eux aussi.
Je vous invite à vous déposer et à regarder quel stress vous habite, et à poser des actions pour amener un changement significatif pour vous. En suivant le rythme d’une planification cela vous évite de perdre pied et d’être moins stressé. Essayez c’est magique. Fixez-vous des objectifs qui résonnent avec vous et passez à l’action en douceur.
Prenez deux minutes et regardez ce que vous pouvez changer et moduler dans votre quotidien, pour vous apporter: plus de clarté, la résilience et surtout la paix de l’esprit.
Un pas à la fois, vous pouvez danser avec le stress, pour qu’un jour il soit votre compagnon occasionnel, car dans le stress il y a aussi du bon, parce qu’il fait tourner votre machine.
Le stress oblige à reconnaitre ses limites, à ne plus jouer à superman ou superwoman, ni à plaire à tout le monde.
– Anonyme
Le stress n’est que la soumission avouée à des contraintes non choisies.
– Grégoire Lacroix